1962 :
Et plus tard aves Vanessa Paradis :
Elle avait des bagues à chaque doigt,
Des tas de bracelets autour des poignets,
Et puis elle chantait avec une voix
Qui, sitôt, m’enjôla.
Elle avait des yeux, des yeux d’opale,
Qui me fascinaient, qui me fascinaient.
Y avait l’ovale de son visage pâle
De femme fatale qui m’fut fatale
On s’est connus, on s’est reconnus,
On s’est perdus de vue, on s’est r’perdus d’vue
On s’est retrouvés, on s’est réchauffés,
Puis on s’est séparés.
Chacun pour soi est reparti.
Dans l’tourbillon de la vie
Je l’ai revue un soir, aïe aïe aïe
Ça fait déjà un fameux bail
Au son des banjos je l’ai reconnue.
Ce curieux sourire qui m’avait tant plu
Sa voix si fatale, son beau visage pâle
M’émurent plus que jamais
Je me suis soûlé en l’écoutant
L’alcool fait oublier le temps
Je me suis réveillé en sentant
Des baisers sur mon front brûlant
On s’est connus, on s’est reconnus
On s’est perdus de vue, on s’est r’perdus de vue
On s’est retrouvés, on s’est séparés
Dans le tourbillon de la vie
On a continué à tourner
Tous les deux enlacés
Tous les deux enlacés.
Puis on s’est réchauffés
Chacun pour soi est reparti
Dans l’tourbillon de la vie
Je l’ai revue un soir ah là là
Elle est retombée dans mes bras
Quand on s’est connus,
Quand on s’est reconnus,
Pourquoi se perdre de vue,
Se reperdre de vue?
Quand on s’est retrouvés,
Quand on s’est réchauffés,
Pourquoi se séparer?
Alors tous deux on est repartis
Dans le tourbillon de la vie
On à continué à tourner
Tous les deux enlacés
Tous les deux enlacés
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